lundi 29 février 2016







Bry s/Marne Le : 1 Juin 2015



   
     SO WHAT ?





Inutile de faire un bilan … La presse nationale s’en charge …



On nous a affublés de nouvelles couleurs plus culturelles !

On nous a invités à imaginer de nouveaux relais de croissance !



POURQUOI PAS !



Alors que les « remèdes miracle » laissés par les anciennes présidences continuent de distiller leur lot de démotivations désespérées et autres situations de mal être…

Une chasse aux sorcières était engagée en coulisses…

Des ressources humaines réputées indispensables deviennent subitement encombrantes (voire incompétentes).

Des postes de travail disparaissent à l’occasion de départs en retraite, alors que d’autres « fleurissent » dans l’organigramme.

Puis est venu le temps des corbeaux et lettres anonymes …

Pour mettre de l’ambiance, les éternelles chamailleries entre syndicats se rappellent aux bons souvenirs de certains…

Depuis une certaine loi visant à moderniser le dialogue social, les syndicats qualifiés de « non représentatifs » s’affaiblissent. Ils ne peuvent plus assister aux réunions et ne sont plus destinataire d'aucun document. Evoquer l’existence d’un syndicat qui fait moins de 10% aux élections professionnelles serait il devenu inconcevable ?…



POURQUOI PAS !


Ce serait drôle s’il ne s’agissait pas de notre gagne-pain.



Il nous parait plus que jamais indispensable de mettre en place une synergie entre syndicats, pour donner du poids à nos valeurs communes.

Pour déployer une force de proposition libre de toute stratégie de communication. Pour une remontée de la réalité du terrain pragmatique et décomplexée. Pour rétablir une indispensable transparence à tous les niveaux entre les salariés et leurs directions.

L’existence d’une liste commune CFDT/CGC est un pas vers l’abolissement de tabous politico-culturels qui n’ont rien avoir ni avec le syndicalisme, ni avec l’intérêt des salariés de l’INA.





EXPRIMEZ VOUS ! VOTEZ POUR LES LISTES CFDT/CGC .




Bry s/marne le 4 Février 2010



Une grève mal axée

Une dissolution contestable de l’AESPA.

Une dénonciation précipitée de notre convention collective par l’ensemble des employeurs du service public de l’audiovisuel.

A France télévision, une restructuration du groupe, prétexte trop facile pour s'imposer de renégocier des acquis entre une direction enthousiaste et deux syndicats : la CGT et FO .

A l’I.N.A., des négociations qui tournent mal , sous la pression de la direction, deux syndicats négocient , alors que leurs positions sur la question de la dissolution divergent.

Une grève dont les revendications occultent la réalité de la situation.

Nous estimons qu'il est préférable de traiter le problème à la source, de refuser ce changement au lieu de n'en refuser que les conséquences.

Après avoir livré une bataille juridique au tribunal de grande instance contre la dissolution du collège employeur, perdue en première instance – mais nous sommes en appel - nous ( CGC, CFDT, SNJ ) avons engagé une nouvelle action contestant les méthodes utilisées par ces mêmes directions pour proclamer la mort de notre convention collective :

et l’ AUDIENCE AURA LIEU CE 16 FEVRIER

A l’I.N.A., seules quelques informations transpirent sous la forme d'un éventail de sujets de fâcherie agrémenté de cachotteries alarmantes.

Nous ne pouvons cautionner cette communication trop sélective, le doute subsistant sur la sincérité de tout ce joli monde.

Tout en laissant chacun libre de faire grève pour manifester son désarroi, nous émettons des réserves sur l'opportunité de cette agitation une semaine avant l’audience au TGI alors qu’elle aurait été bienvenue au moment de la soit-disant dénonciation de la convention collective. Perdre une journée de salaire, mettre à mal le fonctionnement de l’entreprise : OUI, mais au BON MOMENT et à BON ESCIENT.

Un seul message aux instances représentatives du personnel : «  on veut bien vous aider car nous sommes de tout cœur avec vous mais … soyez adultes … nous méritons bien plus qu’une négociation bâclée, menée sous un faux prétexte. »

Seule une reconduction de l’intégralité des conventions actuelles pourra éventuellement servir de base à une renégociation.